Articles de presse 2024
Stammtisch exceptionnel le jeudi 2 mai 2024
Un stammtisch qui devait avoir lieu plus tard a été avancé au jeudi 2 mai, en raison de l'actualité arboricole liée aux ravageurs et maladies. Les importantes variations de températures ont provoqué de façon anticipée le déclenchement de ces maladies et l'action des ravageurs. Une forte demande de nos membres et amis a conduit à organiser ce stammtisch. Lire ci-dessous l'article des DNA du 5 mai 2024, Christel Pfeiffer.
DNA DU 16 AVRIL 2024 BISCHOFFSHEIM Un local qui inspire des projets aux arboriculteurs
Cela faisait quelque temps que les arboriculteurs de Bischoffsheim étaient à la recherche d’un local pour leurs équipements techniques, se retrouver et proposer des rendez-vous. La mairie vient de leur mettre à disposition un garage qu’ils ont aménagé.
Le nouveau local des arboriculteurs de Bischoffsheim, dans la cour de l’ancien presbytère, ne ressemble plus au garage qu’il a été.
Après plusieurs semaines de travaux menés en interne et beaucoup d’ingéniosité, le local, qui a été mis à disposition par la mairie, a été transformé, concrétisant l’un des grands objectifs 2024 de l’association.
Mise en peinture de l’ensemble, installation d’étagères, confection d’une grande porte sur mesure et d’une mezzanine sont à mettre à leur actif.
Des idées à foison
Le président, Richard Haberer, se montrait aussi heureux de disposer de la cuisine de l’ancien presbytère, qui va permettre de poursuivre sur un second grand axe : la valorisation des fruits avec confection de confitures et de pâtes de fruits.
C’est une continuité logique pour l’association, qui envisage aussi de s’occuper de légumes.
« Nous sommes déjà dans la réflexion suivante : une fois les fruits et légumes transformés, comment les conserver de manière optimale ? » indique Marcel Garstecki, secrétaire de l’association.
Le petit groupe foisonne d’idées nouvelles mais pour le moment, il n’en dira pas plus : « Il faut encore laisser mûrir nos réflexions. »
Une équipe passionnée a transformé un garage en local plus accueillant. Photo Christel Pfeiffer